Qui suis-je ?

Je m’appelle Cédric Groise. Je suis né en 1976 dans le Nord de la France.

Pendant mon enfance, j’ai eu la chance de m’occuper de l’élevage de chevaux de mes parents. Ce qui me passionnait le plus était d’éduquer les poulains. J’ai alors, sans en avoir conscience, expérimenté la communication non verbale.

Pendant mes études (diplômes universitaires  en mathématiques), j’ai travaillé en tant qu’animateur dans des colonies de vacances, je me suis alors découvert une aisance naturelle pour communiquer avec les enfants et les adolescents. Ceci m’a conduit à passer le CAPES, je suis actuellement professeur de mathématiques à temps partiel dans un collège.

En parallèle, je me suis formé en continu dans le domaine du bien-être et du développement personnel. J’ai commencé par apprendre le taï-chi-chuan, suivi d’une formation en tui-na (massage chinois). Cette pratique m’a permis de développer des perceptions énergétiques, ce qui m’a guidé ensuite vers la géobiologie (étude des phénomènes telluriques qui peuvent perturber la vie dans un lieu).

Force a été de constater que j’avais moi-même pas mal de choses à régler dans ma vie pour me sentir pleinement épanoui.

Je me suis intéressé au domaine des émotions pour comprendre, dans un premier temps, pourquoi elles se déclenchaient et m’empêchaient d’avancer. Une longue formation avec Jean-Jacques Crêvecœur m’a permis de bien mieux appréhender ce domaine. J’ai ensuite appris l’EFT, technique de libération émotionnelle qui est remarquablement puissante quand on sait l’utiliser : mon ressenti émotionnel s’est alors considérablement amélioré.

Je me suis doucement dirigé vers le monde du coaching, où j’ai découvert des techniques redoutablement efficaces pour progresser dans tous ses domaines de vie. J’ai ensuite appris les mécanismes de réussite et me suis alors passionné pour le domaine des neurosciences grâce à des formateurs de grande qualité comme Alexandre Nadeau.

À mon sens, le futur du développement personnel sera l’étude des états de conscience. C’est pourquoi, j’étudie comment déclencher cet état de conscience extraordinaire chez une personne, ce ressenti qu’on qualifie souvent comme le « meilleur moment de sa vie ») afin de pouvoir l’activer régulièrement, à volonté.

Depuis de nombreuses années, je conseille mes élèves sur la manière dont le cerveau apprend ou comment dompter la crainte d’un examen. Cette valeur ajoutée dans mes cours m’a conduit à créer le métier de coach scolaire.

En résumé, j’aide maintenant des personnes de tout âge (à partir de 5 ans). Et je vous propose de mettre mes compétences de coach et toute mon expérience à votre service afin de parfaire et réussir sa scolarité et son orientation.

Pour mieux comprendre ce qui motive dans ma démarche :

Nous avons tous une vitesse d’apprentissage différente.

Pour ma part, on m’a plusieurs fois dit que j’étais un « diesel » ; c’est à dire que j’ai besoin de beaucoup d’essais-erreurs pour comprendre une notion et tout devient clair après un déclic.

Ce fonctionnement peut être décourageant si on ne le comprend pas bien.

Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai compris un cours après que le contrôle soit passé.

J’ai commencé ma carrière d’animateur de manière médiocre ; tout comme l’enseignement ou bien les sports dans lesquels je me suis lancé.

Cette année, j’ai décidé de m’initier au parapente. Sans surprise, lors de mon premier stage, je me suis senti « à la traîne » par rapport aux autres participants et les commentaires de mes formateurs me  donnaient raison. Cependant la situation ne m’a pas déstabilisé car je connais mon fonctionnement. Je fais poursuivre ma progression par déclics.

Il est pour moi important de connaître sa courbe de progression ; je consacre du temps dans mes ateliers à mieux la connaître ; plus on la comprend et plus on s’autorise à apprendre rapidement.

Je suis quelqu’un de sensible ; ce qui peut avoir des inconvénients mais aussi des avantages.

Cependant, j’ai souvent été déstabilisé par des émotions qui n’étaient pas indispensables.

Je n’osais pas aborder des inconnus, j’avais aussi peur d’exprimer mon opinion et être rejeté.

Sauter du plongeoir de 5 mètres est aussi une longue histoire.

Au fur et à mesure de mes observations et formations, j’ai compris qu’un gros pourcentage des émotions n’avait pas lieu d’être à notre époque. Le cerveau déclenche des mécanismes de stress et de conflits en lien avec des situations vécues difficiles.

A l’instar du téléphone qui est passé du cadran au smartphone, les techniques de détachement émotionnel ne cessent de se perfectionner (la plupart sont inspirées de la PNL, l’hypnose, l’EFT…).

Il m’arrive fréquemment lors d’un coaching de voir une personne se libérer d’un stress en quelques minutes ; à tel point qu’elle a de la difficulté à se souvenir de son problème !

Il est important à mon sens de connaître quelques manières d’apaiser certaines émotions qui peuvent être sabotantes (par exemple le remède d’urgence d’élixirs floraux ; ou bien l’EFT qui s’apprend rapidement).

Par expérience, une « émotion » récurrente qui ne s’apaise pas avec ces outils nécessite un approfondissement pour mieux la comprendre. Ce travail (qui est plus facile en étant accompagné) amène souvent à une nette amélioration de sa vie.

Personnellement, j’ai un rituel journalier d’ « hygiène émotionnelle »  et je trouve ma vie de plus en plus épanouie !

Si je prends un regard purement analytique , je ne peux pas dire que mes débuts au collège furent une réussite. J’étais perçu comme un élève agité, souvent déconcentré et très moyen.

La réussite scolaire m’avait été présentée comme une route incontournable , sans quoi je serai amené à poursuivre ma vie de manière misérable.

Ce non-choix m’a amené dans la direction que je redoutais (comme souvent quand il n’y a pas d’alternative dans une situation) ; je me souviens des moments de plus en plus fréquents où les « bons élèves » (que je considérais comme « les autres ») pouvaient répondre avant que j’aie le temps de répondre à la question. Je m’habituais lentement à cette spirale vers le sentiment d’impuissance qui devenait une nouvelle identité.

 

Mon professeur de mathématiques de l’époque n’était clairement pas épanouie dans ce qu’elle faisait et ça n’aidait pas…

Lors de mon année de quatrième, j’ai eu la chance d’avoir un professeur de mathématiques qui enrichissait le cours avec plein d’anecdotes.

Alors que je travaillais sur un devoir maison, habitué à passer mon dimanche après-midi à me morfondre sans trouver les solutions, j’ai eu une révélation sur un problème de géométrie , tout est devenu soudainement simple et logique…

Je suis passé en l’espace de quelques semaines de « médiocre » à « bon », à tel point que j’ai eu l’envie d’enseigner à mon tour les mathématiques, chose que je fais actuellement avec passion.

J’ai une motivation insatiable à transmettre ce fameux déclic et toute réussite me met dans un état de profonde gratitude.

Après des années de recherche, j’ai observé que beaucoup des personnes motivées et passionnées se sont construites à partir d’une souffrance, voire d’une revanche.

Lorsque je repense à mes débuts au collège, je n’ai plus cette colère, mais plutôt une impression de perfection et de richesse qui font des obstacles des nécessités pour mon parcours.

Mon impression de « revanche » laisse place à une motivation bien plus positive puisque je l’ai acceptée.

Les recherches en neuroscience nous donnent de plus en plus de clés pour amener quelqu’un vers ces fameux déclics. Je consacre beaucoup de temps à comprendre ces mécanismes et les transmettre car ils peuvent changer des trajectoires de vies…

Je me suis intéressé à ce domaine lorsque j’ai participé à des séminaires de motivation, réussite et développement personnel.

Je compartimentais auparavant les dimensions physiques, mentales et émotionnelles ; la notion d’état de conscience m’a permis de considérer ces trois réalités ensemble puisqu’il agit sur les trois en même temps.

Le principe est de passer d’un état « bof » à un état de motivation, de passion ou encore de réussite.

Mes premiers essais furent de me mettre dans l’état de « peak state », où l’on est dans une telle détermination qu’on peut marcher sur des braises pieds nus !

Mes diverses formations avec Alexandre Nadeau m’ont plongé dans un univers encore plus vaste…

Je découvre qu’à chaque situation de la vie correspond un état de conscience approprié.

Lorsque je cours, je me mets en mode « iron man » ; pour écrire cet article, je me mets en « parler avec son cœur et inspiration » (ces terminologies me sont propres).

Je passe du temps à améliorer les états de conscience que je désire générer et même amplifier.

Je constate depuis une nette amélioration dans tous les domaines de ma vie.

Lorsque j’ai une personne en coaching, je détermine un état de conscience qu’elle a du mal à générer et je lui montre comment le rappeler. Si elle joue le jeu, il en résulte beaucoup plus d’enthousiasme dans sa vie.

Mon parcours de vie fait que j’ai peur d’être rejeté ; abandonné. Rien que parler de moi est une épreuve.

J’ai passé beaucoup de temps à chercher de la reconnaissance, de l’approbation ; j’ai en fait surtout cherché à combler un manque, un vide.

J’ai constaté au fil du temps que tous les gens que je rencontre cherchent à se « sentir bien » et que chacun a sa propre définition.

Certains vont chercher la popularité pour échapper à une impression de solitude, pour d’autres, ce sera la richesse pour éviter l’impression de manque.

J’ai observé aussi que chercher à se « sentir bien » uniquement en agissant sur l’extérieur provoquait des oscillations qui amenaient momentanément à vivre encore plus de mal-être.

Personnellement, j’ai souvent cherché à intégrer des groupes pour me sentir accepté ; je les ai systématiquement quittés après beaucoup de déceptions et un sentiment d’exclusion qui m’envahissait à nouveau.

Je sais maintenant que je cherchais avant tout un état de conscience plutôt que d’être accepté dans un groupe.

Actuellement, je génère régulièrement un état de conscience qui me permet de me sentir comblé, quelle que soit la situation extérieure.

Avec le recul, j’ai l’impression d’être passé de la mendicité à la plénitude !

Je peux maintenant réfléchir à ce qui me fait vraiment vibrer sans remplir constamment ce vide.

Et ça change vraiment la vie !

Diplômes

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